Les partis de gouvernement se sont discrédités,
Le PS en premier certainement, au moins parce qu’il (anti)gouverne, mais l’exUMP, "nouvellement républicains", en second.
Il n’y a aucune raison que "l’hemorragie" s’arrête aux partis.
Toute la famille idéologique républicaine-mondialiste est atteinte : medias, justice, pseudo intellectuels-experts, école, syndicats, LICRA, Crif etc.
En clair, la dissidence est conquérante a proportion du discrédit de l’establishment.
C’est cela le fait nouveau, beaucoup plus que le seul étiolement du seul noyau dur du seul PS qui n’est donc que la conséquence seconde du fait majeur :
La nation prend insensiblement le parti de la dissidence
Ce n’est pas une crise prétendument économique et/ou morale
Ce n’est pas une crise car la crise est passagère alors que le mécontentement est durable
il n’est pas seulement économique ou moral, ou idéologique, il est général
Le mécontentement général qui dure et va grossissant porte un nom : il s’appelle la révolution
La dissidence est conquérante dans sa démarche révolutionnaire attendu que tout adhérent ou sympathisant en moins chez nos gouvernants est un combattant en plus au service de la dissidence
Soral a raison ! Il est en train de gagner !