Juncker on s’en fout et lui aussi se fout éperdument d’être "éclaboussé" par ce pseudo-scandale :
l’administration fiscale française passe exactement les MÊMES ACCORDS...comme toutes les administrations fiscales.
Les questions qui seront posées au procès seront les suivantes :
1/ Pouvait-il prendre des documents à l’insu de son employeur sans commettre un vol ?
2/ Le salarié est-il tenu au secret professionnel pendant son contrat ? Au delà de son contrat ?
3/ Le salarié est-il juge du comportement moral de son employeur ? Délictueux ? Criminel ?
4/ La sanction du devoir de conscience du salarié est-elle la démission, la rupture du contrat de travail imputable à l’employeur ou la dénonciation ?
5/ Le salarié qui cherche à monnayer ou tirer un avantage indu du crime de son employeur n’est-il pas plus criminel (et dangereux) que lui ?
6/ Le vol de documents confidentiels constitue-t-il un vol aggravé ?
9/ L’employeur est-il civilement responsable des délits commis par son salarié à son préjudice vis à vis de ses clients ?
10/ Lemployeur subit-il un préjudice moral ou commercial indemnisable du fait du comportement délictueux de son salarié et si oui que peut-être cette indemnisation ?
Je vous mets sur la piste : au plus on évolue dans l’univers des crapules, au plus la déontologie est stricte.
Nous n’avons que deux questions à poser à cet imbécile :
dans le meilleur des cas, ses oranges préférées ?
dans le pire des cas, ses fleurs préférées ?
Car il n’y aura pas de pardon.