Brexit : la réaction de Nigel Farage
26 juin 2016 12:36, par Une femme1/2
Voici l’histoire que Lao-Tseu aimait raconter parait-il !
Elle est tout à fait d’actualité et mériterait d’être méditée en ces temps où à la faveur du sort nous ballotons entre espoir et crainte parfois !
Voici l’histoire :
Retrouvez votre âme de petit garçon ou de petite fille pour en puiser la substantifique moelle et vous rendre peut-être davantage disponible à son très beau message !!!
Un pauvre chinois suscitait la jalousie des plus riches du pays parce qu’il possédait un cheval blanc extraordinaire. Chaque fois qu’on lui proposait une fortune pour l’animal, le vieillard répondait : » Ce cheval est beaucoup plus qu’un animal pour moi, c’est un ami, je ne peux pas le vendre. »
Un jour, le cheval disparut. Les voisins rassemblés devant l’étable vide donnèrent leur opinion : »Pauvre idiot, il était prévisible qu’on te volerait cette bête. Pourquoi ne l’as-tu pas vendue ? Quel malheur ! » Le paysan se montra plus circonspect : »N’exagérons rien, dit-il. Disons que le cheval ne se trouve plus dans l’étable. C’est un fait. Tout le reste n’est qu’une appréciation de votre part. Comment savoir si c’est un bonheur ou un malheur ? Nous ne connaissons qu’un fragment de l’histoire. Qui sait ce qu’il adviendra ?
Les gens se moquèrent du vieil homme. Ils le considéraient depuis longtemps comme un simple d’esprit. Quinze jours plus tard, le cheval blanc revint. Il n’avait pas été volé, il s’était tout simplement mis au vert et ramenait une douzaine de chevaux sauvages de son escapade. Les villageois s’attroupèrent de nouveau :
« Tu avais raison, ce n’était pas un malheur, mais une bénédiction.
Je n’irais pas jusque-là, fit le paysan. Contentons-nous de dire que le cheval blanc est revenu. Comment savoir si c’est une chance ou une malchance ? Ce n’est qu’un épisode. Peut-on connaître le contenu d’un livre en ne lisant qu’une seule phrase ?
Les villageois se dispersèrent, convaincus que le vieil homme déraisonnait. Recevoir douze beaux chevaux était indubitablement un cadeau du ciel. Qui pouvait le nier ? Le fils du paysan entreprit le dressage des chevaux sauvages. L’un d’eux le jeta à terre et le piétina. Les villageois vinrent une fois de plus donner leur avis :