L’empire, qui représente les intérêts de quelques milliardaires, de quelques lobbies (militaro-industriel, pétrolier, pharmaceutique, financier, etc) et autres groupes de pression ou mafia (sionisme, franc-maçonnerie), tous ces éléments étant étroitement intriqués les uns dans les autres (à mon avis, 10 000 personnes dans le monde, peut-être moins, décident de la façon dont il doit évoluer pour cadenasser le système dans le sens de leurs intérêts), l’empire, disais-je, est l’ennemi des peuples et de leurs représentants qui ne se soumettent pas à sa volonté. On vit vraiment une période qui pue la guerre. Ces salauds, ayant des moyens illimités, nous amènent exactement là où ils veulent : une situation de remise à zéro des compteurs après laquelle ils n’auront pas de comptes à rendre sur la désastreuse situation actuelle et d’où leur pouvoir, déjà exorbitant, sortira renforcé... On ira casser la gueule au "méchant" qu’on a fabriqué de toute pièce, ça coûtera des millions de morts s’il le faut (mais de toutes façons, on est trop nombreux sur cette planète, vous comprenez...), et on (toujours les mêmes) prendra bien soin de raconter tout ça comme cela mérite et DOIT être raconté : en direct grâce aux media et bhl. Puis il faudra reconstruire : plein de contrats, pour les mêmes qui auront provoqué, financé et se seront enrichis encore davantage grâce la guerre. Et pour finir, Fernand Nathan ou son successeur raconteront l’ "histoire". Bien comme il faut. Il y aura des commémorations, des médailles pour célébrer cette vérité officielle et les millions de morts "pour la liberté".
C’est pour ça qu’un Georges Bush qui danse en souriant à une cérémonie d’hommage à des policiers morts est un "détail" extrêmement révélateur : Bush, c’est les 10 000 qui préparent le spectacle en souriant et en se frottant les mains. Les policiers morts, c’est nous.