L’euro trahi (mais c’était fatal en l’absence de souveraineté nationale) par le clientélisme.
Les dirigeants politiques peuvent le dépenser à leur gré pour leurs clients : migrants, lobbies... Le peuple national ne compte pas ; la responsabilité est rejetée sur une nébuleuse composée d’inconnus de la banque.
Ils ne se gênent donc pas, les sous-fifres et autres satrapes.
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