Guterres : Chantre de toutes les déportations d’êtres humains. Il signe ainsi son appartenance à une communauté douée pour le commerce transnational.
Il faut donner un nom à ces "déplacements de réfugiés" : déportation de masse, traite des êtres humains, crime contre tous les acteurs productifs de l’humanité : ceux qui partent espérant gagner ailleurs leur subsistance, ceux qui sont envahis et sont sommés de donner le fruit de leur travail, leur héritage, leurs descendance, et plus.
Hier à Paris, deux pauvres Africains transis m’ont demandé l’aumône dans le froid. Ils ne pensaient pas que la France, c’était ça, j’imagine. Ils ne sont nullement destinés à couper la canne à sucre, cette fois, ni même à travailler sur des chantiers déjà overbookés, mais à occuper le continent européen pour évincer le peuple légitime, lequel, plus averti, moins crédule, moins nécessiteux/avide, encore investi d’une certaine dignité/fierté/mémoire/compétence/réflexion, rapporte moins de bénéfices immédiats aux calculateurs déportationnaires de la bande à Guterres, et se laisse moins appâter.
Seulement, les limites paraissent atteintes et on ne tond pas un oeuf.