Après lecture attentive, il apparaît que les "preuves" des attaques cybernétiques russes, apportées par l’administration Obama, ne sont aucunement probantes. Il s’agit d’un long rapport soporifique, enfilant des banalités sur le hacking, des généralités informatiques, avec noyage de poisson dans un galimatias pseudo-technique, sans rapport direct avec les faits. Le tout fait bailler très fort tout informaticien compétent.
Un chose est certaine, Obama n’en comprend pas un traitre mot. Il s’est fait traduire ça en une phrase à sa portée : "ça veut dire que les Russes nous ont attaqué".
Mais quelle attaque ? Les machines à voter ont été piratées ? Non. Les recomptages de voix ont mis en évidence des fraudes ? Non. Des informations fausses ont été diffusées ? Non.
Tout ce qu’on sait, c’est que des "gens" ont pénétré les serveurs du parti démocrate et ont publié des informations VRAIES qui DEMONTRAIENT la stupéfiante duplicité des dirigeants. Où est le mal ? Depuis quand doit-on s’insurger contre la manifestation de la vérité en matière politique, alors qu’aucun secret militaire stratégique n’a été atteint ?
Les "gens" qui ont réussi cet exploit, doivent à l’évidence recevoir des récompenses somptueuses et des remerciements appuyés de la part des Américains (surtout des démocrates) et du reste du monde.