Cher J.,
Vous m’affranchissez du devoir que je m’étais fait d’écrire un courriel similaire au vôtre. Vous avez tout dit, vous avez dit le nécessaire en riposte aux critiques - fondées ou non - mais irresponsables à l’encontre de notre objecteur de conscience contemporain, pour la paix civile. Pour la paix tout court.
J’ose espérer, même si c’est difficile, qu’il reste d’irréductibles gaulois déterminés à y croire quelqu’en soit le coût.
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