Stop au bashing !
L’erreur est humaine (certains en font plus que d’autres !).
Dans une société véritablement démocratique et non mafieuse, la repentance (techouva) n’est pas une soumission honteuse, une perte de dignité, une lâcheté, …
Sachant que l’humain « normal » (citoyen) est tout individu qui cherche à se donner la meilleure utilité possible, … afin d’en récolter les fruits ; … … dans une démarche « thérapeutique » à l’encontre de tout « déviant », … le processus ultra classique de repentance (ou « techouva »), aussi destiné à éduquer et « pacifier » la communauté, … comprend les étapes suivantes :
La confession : La digression ou faute doit être mise en mots, formulée, conceptualisée, … donc comprise.
Le regret : L’entière conscience de sa connotation négative doit attester de la « normalité » ou « sociabilité » retrouvée.
La promesse ou engagement : Dans la recherche d’une « tranquillité » future pour tous, la résolution de ne plus jamais céder à cette tentation doit être fermement prise.
Le pardon : Quand la faute a été commise contre autrui, il est nécessaire d’obtenir son « pardon », ou reconnaissance du « pansement », objectivement suffisant, effectivement posé sur la douleur liée au « passé », … (Ce n’est en rien un effacement, un oubli, … ou un processus thérapeutique pour soigner les plaintes d’éternels « mélancoliques »).
C’est donc l’occasion de se montrer capable de faire une mise au point positive (en la souhaitant sincère !).
En résumé, c’est abandonner une pensée simplement mal formulée, … ou même une orientation d’esprit nuisible, … en vue d’une réintégration dans une pensée plus exacte, sûre, juste, pertinente, mieux affinée, … plutôt consensuelle, … attestant d’un véritable progrès sociétal.