À la nuance près que la grande fracture de la mondialisation, c’est celles que l’on retrouve déjà aux États-Unis, dans des villes comme Cleveland, Détroit ou la Nouvelle-Orléans. Villes totalement ruinées et livrées à la paupérisation extrême de leurs populations. Populations en marge du monde du travail et abandonnées des institutions, sauf celle policière qui poursuit une pression judiciaire absurde sur des gens désemparés qui cherchent des moyens forcément illégaux pour survivre.
Le seul clivage politique avenir, lorsque les croyances intellectuelles et les dogmes politiques se seront taris, sera très certainement d’ordre ethnico-financier qui aura pour unique racisme le statut social de l’individut...comme aux États-Unis ou en Afrique du Sud.