"Musique nègre" : Frédéric Delavier répond à Henry de Lesquen
26 mai 2017 00:31, par Guide de lumière
Les 2 monsieurs, Lesquen et Delavier, sont selon moi autant l’un que l’autre totalement hors sujet et d’une ignorance crasse du sujet principal : la musique africaine. Je ne suis pas un expert en la matière mais ma légère connaissance me suffit, ayant écouté du Fela Kuti, Seun Kuti, du Salif Keita, de la rumba africaine (et bien d’autres styles et artistes dont je ne me souviens pas les noms) pour savoir automatiquement que l’affirmation de départ : "la musique africaine est sexuelle" est fausse, mais pas qu’un peu, beaucoup. J’aimerais que ces 2 personnes me disent ce qu’elles pensent de la musique gnawa, de la musique traditionnelle malienne et de la rumba congolaise et me racontent qu’est ce que cela a à voir avec le sexe. C’est aussi vrai que de dire que la musique blanche a un arrière goût de bière éventée et de cendrier froid en ayant à l’idée quelques voix bêlantes de certains rockeurs contemporains sur le retour. Si nos spécialistes "je-sais-tout" "dissidents" basent leurs analyses sur 3 clips de MTV et 3 documentaires sur la chaine Planète on est vraiment mal barrés en terme d’Oratores ! Après je dis ça, on est pas obligés d’aimer la musique africaine, mais en s’inspirant du proverbe belge :"quand on sait pô, on parle pô !" Merci d’avance et honnêtement entre nous, vous préférez une kizomba avec une belle sénégalaise ou une valse avec une belle autrichienne ? En tant que franco-latin mon choix est vite vu, et je me sens culturellement plus en affinité avec un touareg saharaoui qu’avec un suédois. Je divague... (J’ai regardé la 1ère minute de vidéo, mais les énormités énoncées sur un ton si péremptoires m’ont forcé à cliquer sur STOP)