Ne serait-il pas plus judicieux d’oublier ce banal fait-divers, plutôt que d’entretenir une publicité qui s’ajoute aux tapages de la bien-pensance et de la presse vérolée ?
Se souvenir de Séguéla : "Il n’ y pas de bonne ou mauvaise publicité. L’essentiel c’est qu’on en parle"
A méditer !
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