De même qu’il existe en art une subversion encouragée, voilà qu’Homo Festivus qui veut se sentir partout comme chez lui s’enthousiasme à faire table rase du passé, à défaut de le pouvoir changer, et se métamorphose en... négationniste. Tout cela dans un monde déraciné, amnésique. Des mangeurs de Lotos.
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