Et si l’histoire du père Angot (Pierre de son prénom) n’était que calomnie et projections ? La fille n’aurait pas encaissé son statut humiliant et intériorisé de "bâtarde" comparé à des demi-frères ou demi-soeurs légitimes (supposés). Le démon de la jalousie et le traumatisme du rejet ont inspiré bien des diffamations.
A noter que la prénommée Christine a pu suivre des études universitaires et n’a pas subi de privations matérielles. Cette écri.très.vaine (en inclusif) a été jugée "dangereuse pour ses proches" assez vite par un éditeur qui a refusé un énième recueil de ragots propres à lui rapporter un procès en diffamation ou indiscrétion.
CA aurait pu vouloir se venger d’un père indifférent ou peu aimant, qui ne l’acceptait pas vraiment comme sienne, par des accusations gravissimes. Pierre Angot est mort depuis plusieurs années et on n’aura pas son point de vue.
Dans un roman récent (2015), CA l’accuse cette fois, et soudain, d’antisémitisme. "On ne sait pas qui était le père Angot, fils d’un directeur Michelin, polyglotte et cultivé mais antisémite. Forcément antisémite. Comme toute la bourgeoisie des beaux quartiers parisiens ? Pierre Angot était donc antisémite et IL FAUT CROIRE QUE C’EST VRAI, sans discuter. Il faut accepter l’histoire même sui elle paraît ainsi transformée in extremis. Après tout, c’est un roman, non ?" commente Thierry Poyet
http://salon-litteraire.linternaute...
Les victimes d’inceste sont plutôt timides et ne tiennent pas trop à en parler. Les pipelettes, quant à elles, aiment beaucoup propager des salades.