Ce qui est remarquable dans toutes ces saloperies ( les "droits sexuels", les diverses revendications "LGBTQ" ), c’est à quel point les gens qui militent pour elles s’estiment en droit de les imposer à tous le monde, parents et enfants. Les "droits sexuels", qui a demandé ça à part, peut-être, le lobby homosexuel ( pour augmenter son "terrain de chasse" ? ) et, plus sûrement, le lobby pédophile ( pour se créer un "terrain de chasse" ? ) ? Personne. Strictement personne. C’est mis en place "gentiment", l’air de rien. Avec la complicité des media dès que nécessaire. C’est découvert ? On nie, comme pour la théorie du genre. Qui "n’existe pas", bien sûr.
Là, on a quoi ? Un « Mois de l’histoire des LGBTQ »... On croit rêver. Qui a demandé ça ? Les parents ? Les enfants ? Non, non. Le lobby LGBTQ. Et attention, qu’est-ce qu’un lobby ? Ce sont quelques activistes qui ont décidé, eux tout seuls, qu’ils allaient représenter les intérêts d’une communauté entière. Autrement dit, le lobby LGBTQ représente-t-il les intérêts des lesbiennes ? Non. Seulement ceux des lesbiennes de l’association... Pareil pour le reste : gays, bi, trans, queer. Je vous demande un peu, est-ce que les bisexuels ressentent le besoin qu’on parle en leur nom ? Grotesque. Et la majorité ? Elle ferme sa gueule et se mange un "mois de l’histoire LGBTQ" qu’elle n’a jamais demandé et aurait sans doute refusé si on avait sollicité son avis...
Une petite remarque pour finir. Le principe du petit groupe constitué en lobby qui ne représente que ses membres encartés alors qu’il prétend représenter toute sa communauté est bien connu. Hein ? De quoi je parle ? Je ne peux pas le dire. Pourquoi ? Parce qu’on est en démocratie. Et chacun sait qu’en démocratie, il y a des gens dont on ne peut pas parler : ce ne serait pas démocratique.