Ça n’est pas le genre de message à communiquer aux « djeunes »... Mais en toute franchise, es-ce qu’il s’adressait à des jeunes ?...
Il prend un thème (pour « animer » sa page facedebouc) et il l’explique plutôt bien.. ensuite sur plus d’une SOIXANTAINE... certaines de ces photos vous paraissent choquantes ?
Mais n’es-ce pas la particularité du graffiti (depuis toujours) de ne pas être à sa place ? Je ne voudrais pas ramener ma fraise avec ma culture d’étagères de la FNAC, mais il y a un livre célèbre du photographe BRASSAÏ qui traite le sujet et s’intitule justement : « Graffiti » ; bien qu’il s’agit principalement de petit dessins de rues et gribouillis...
Bien évidemment c’est un inventaire à la Prévert... c’est à dire que ça énumère des sujets à priori hétéroclites... C’est depuis Brassaï devenu un petit peu cliché de raconter ce que les murs racontent...
Bref, les nouveaux députés « marcheurs » sont réputés médiocres mais ne sont-ils pas, ici (les journalistes de valeurs actuelles), en train de chercher des poux à la tête de ce petit frisé ?... Effectivement, sur une soixantaine qu’il y en ai une demie-douzaine qui vous mettent hors de vous, ne dit pas exactement comment vous auriez reagis à l’ensemble ? Les graffitis sur les murs sont des âneries à la base... pour amuser la galerie...
Ps : c’est un non sens de mélanger le mot « Tags » (signatures, pseudos) et les traditionnelles phrases écrites sur les murs, anciennement appelés graffitis...
Le mur appartient aux "demeurés", aux "inadaptés", aux "révoltés", aux "simples", à tous ceux qui ont le coeur gros. Il est le tableau noir de l’école buissonnière", Brassaï.