Le lien entre un vaccin et la sclérose en plaques confirmé par le tribunal
18 mars 2018 14:52, par PJ
Le risque 0 en médecine n’existe pas.
Du paracétamol, pris à forte dose et de manière concomitante avec de l’aspirine, entraînera une IR insuffisance rénale à titre d’exemple j’ai pris cas extrême du paracétamol.
De manière générale, au delà de 3 traitements médicamenteux (je ne parle pas de vaccins) il y a interactions médicamenteuses.
Là concrètement, 3 vaccins contre hépatite A hépatite B et fièvre jaune. Ça fait beaucoup.
Le lien de cause à effet entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques n’a pas été prouvé scientifiquement : à revoir ce n’est pas mon domaine thérapeutique ça date et peut-être que d’autres publications scientifiques sont sorties sur le sujet.
Le vaccin contre l’hépatite B n’est à prescrire généralement que quand on travaille dans un milieu à risque comme hospitalier.
La sclérose en plaques est une maladie autoimmune (système immunitaire qui s’attaque à son propre organisme corps). Tout comme la polyarthrite rhumatoïde, il y a un facteur héréditaire pas raciale NE PAS CONFONDRE ! Je connais une personne atteinte de sclérose en plaques vaccinée contre l’hépatite B dont un membre de sa fratrie est atteint de polyarthrite rhumatoïde (parents 0 que dalle). Ceux que je connais atteints de sclérose en plaques sont français de "souche", mais Tariq Ramadan a malheureusement cette pathologie grave de dégénérescence du SNC système nerveux central.
Dans le cas de ce militaire, la responsabilité de 3 vaccins peut être incriminée mais comment savoir lequel plus qu’un autre scientifiquement : j’imagine que l’armée a fait le nécessaire médicalement pour suivre ce patient, la médecine des armées disposant de moyens médicaux non négligeables et d’une prise en charge médicale plus que correcte fort heureusement pour cet homme.