J’ai fais un don à Alain Soral. J’exhorte les partisans de la (vraie) liberté d’expression à en faire autant, y compris ceux qui ne partagent pas ses idées (air connu, mais il faut le répéter). Il en va de principes supérieurs qui doivent être fermement défendus.
Ces ligues de vertu "antiracistes" tendent à devenir de véritables "parquets fantômes", qui déclenchent en fait les poursuites et pré-instruisent presque les dossiers ; le défendeur se retrouve seul, avec ses seules ressources financières personnelles, face à trois, quatre (voire plus) associations parties civiles (outre le contentieux pénal), gavées de subventions publiques qui, de fait, garantissent leur risque judiciaire avec l’argent du contribuable, assistées par des avocats spécialisés. Il en résulte un rapport complètement déséquilibré : ou est le procès équitable dans ces conditions ? Ecrasées, en cas de condamnation, par le paiement de dommages et intérêt et de frais au titre de l’articles 700 (alors que c’est vous et moi, via les subventions, qui payons ces "frais irrépétibles" qu’ils ont du exposer..."), les cibles de cette machine folle sont tout bonnement ruinées, ce qui est le but de l’opération. Le seul moyen de contrer cette dérive de notre système judiciaire et cet arsenal législatif réprimant le délit d’opinion est d’aider systématiquement, financièrement, les victimes de ce système à faire face aux frais de justice. Il faut, devant le juge appelé à entendre une cause, rétablir l’équilibre entre des groupement qui vivent de subventions à 90%, et un justiciable isolé et désargenté. Il ne s’agit pas de pas prendre parti dans un contentieux sur lequel il appartient au juge de statuer, il ne s’agit que de rétablir le droit à un procès équitable. Alors aidez Alain Soral.