La bonne volonté ne suffit décidément pas.
Etre responsable nécessite de comprendre ou au moins percevoir et sentir le fond des choses.
Pas d’analyse des concepts, des mots qui le formulent (travail de la philosophie) et on ne peut plus dire que "de toutes façons, on gagne à la fin" et "non, je en regrette rien", reprenant l’écume de fiertés légitimes en mode bravache.
Onfray, Filoche, et autres personnes sont grisés comme peut l’être n’importe quelle star mais dépendant du "payeur", comme tout prolétaire (du public ou du privé).
Par la "paix d’Augsburg" (1555), Charles Quint (V) ,ne faisait que poser des principes dont nous héritons dans la gestion des conflits d’idées et de croyances (ne parlons pas de foi !) ; "Cujus Regio, ejus Religio" ; non pas seulement ; permettre un partage des territoires selon la religion du prince, ce qui suppose peut-être implicitement ; la liberté de déménager (bravo pour les acquis, ça me fait penser aux avortements remboursés !), mais fondamentalement ; le droit du propriétaire sur la "foi" officielle de ses sujets (remplacez sujets par salariés, membres, affidés...).
La liberté reste liée à la responsabilité, le salariat ; une forme élaborée d’esclavage et la sécurité (militaire, de police, alimentaire, de la santé, du travail..) les seuls besoins réels et criant toujours attaqués, car garant de la seule paix sociale et force populaire, le reste, c’est pour emballer des adolescentes mal gardées à la maison.
Y a du boulot, c’est jamais gagné !