Les années 80, l’époque de cette Verkine, c’étaient les années Madonna.
Les "soixante-huitards", uniquement représentés comme de crasseux babas-cool - surtout pas des cohn-bendit etc., bien trop occupés alors à se placer en catimini aux postes stratégiques du pays - étaient lattés quotidiennement. Et avec eux les idées (nordiques) d’entr’aide dans le groupe soudé par les liens du sang et de l’amitié, d’écologie véritable, d’élan vital vers le ciel et la liberté, de questionnement de l’ère américaine post-45.
Cette Lydia Verkine s’inspire de Madonna (côté soubrette), en infiniment moins vulgaire (impossible de faire mieux). En clamant qu’elle aime le voyou qui lui tape dessus, elle fait sa fifille à weinstein. Allez les filles, par ici, en rangs s’il vous plaît, et pas un sein qui dépasse. On vous prépare une France de mâles butors, bornés, lâches et cogneurs : une France de macs en tout genre. Préparez-vous, aimez votre ennemi, il vous cernera de partout, nous l’introduirons jusque dans votre lit ; préparez les pansements !
Notre site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation de cookies.