Les Marocains illettrés ont bien profité de la France une fois ; ils essaient de profiter deux fois, c’est logique, tout les y pousse, leurs moindres caprices sont écoutés, et chez eux on marchande tout interminablement. Ce nouveau procès s’appelle crier haro sur le baudet.
Au Maroc, dans un tel cas (incomparable), ils paieraient 50% à 75% l’avocat, incluant les innombrables pots de vin à toutes sortes de fonctionnaires, et seraient avec lui on ne peut plus obséquieux, lui feraient des cadeaux en nature, le combleraient de petits plats, et seraient payés très tard, le plus tard possible.
En fait il n’y aurait pas de dossier de ce genre au Maroc. Imaginez-vous un Français illettré, employé dans une grande entreprise d’Etat au Maroc, dûment salarié et retraité, réclamant a posteriori une promotion ? En taule qu’il irait, pour outrecuidance.
En France, ils ne savaient pas lire et au départ étaient bien contents d’avoir un boulot rémunéré correctement, la sécurité de l’emploi. Ceux qui les ont fait venir continuent de nous coûter très cher ; ce sont eux qui soutiennent ce type de revendication via leur système judiciaro-policier.
Résultat ? Aujourd’hui bien des Français très lettrés gagnent le smic ou rien, sans aucune des anciennes garanties (emploi à vie) de type SNCF. Aucune promotion possible avec toutes cette discrimination si négative pour eux.
Quant à fifille, ça lui apprendra à traiter de pareils dossiers. Elle aurait dû écouter papa et respecter son nom. Et en savoir plus sur les différences de mentalités. Tout le monde n’est pas droit comme un I. Ceci étant, le pourcentage qu’elle demande est très correct, et elle offre la possibilité de le déduire.
Les Marocains devraient lui dire mille fois merci, et nous, lui tourner le dos. A qui laisse-t-elle prendre tout cet argent ?