L’auteur a raison de pointer le rôle d’un certain confort de vie dans ce suicide occidental.
Si l’Occident bénéficie, malgré des disparités, d’un progrès matériel jamais atteint, c’est en raison du triptyque liberté-responsabilité-propriété assis sur l’Etat de droit. L’Occident a oublié ce qu’il doit aux sciences et technologies alliées au capitalisme entrepreneurial. Mais un capitalusme anglo-saxon dévoyé s’est développé, avec une finalité hégémonique. Il a soumis des dirigeants lâches et/ou corrompus et fait la guerre aux indociles. Le but etant que les Etats soient les relais d’un totalitarisme planétaire avant de se dissoudre.
Comme la grenouille, les peuples occidentaux (en particulier les Français) subissent progressivement des restrictions à leurs libertés, des entorses au droit de propriété et un socialisme toujours plus poussé, sans réagir du moment que leur mode de vie n’est pas restreint.
Ce qu’ils ne savent pas, c’est que les sociétés non libres, de Rome à l’URSS, ont toujours fini dans le désordre et la misère. La chute de la natalité et les difficultés croissantes du système de santé sont les signes précurseurs d’une inévitable régression si nous ne réagissons pas rapidement.
Les migrations imposées ne sont qu’un facteur de desordre supplémentaire, mais le mal est plus profond.