Elle remplace "Blanc" par "Noir" et "juif" pour dénoncer le racisme du New York Times
7 août 2018 18:40, par vert-mousse
En fait, ce n’est pas sérieux. La Jeong, qui a dû mener une vie de services à la personne (fripée) parle un langage crypté.
Elle veut faire comprendre sa souffrance à la planète, mais ne peut dire les choses telles quelles, par exemple : je hais mes patrons ! Elle serait virée.
A NY on peut (on doit) parler des blancs sur le mode satirique ou injurieux, c’est la seule race (ô pardon l’ethnie ou la couleur) punching-ball.
La Sarah a bien capté. Elle va mettre "blanc" à la place d’autre chose, et ni vu ni connu.
Ce qu’elle veut nous faire comprendre, c’est que des personnages d’un blanc terne aggravé par l’âge, mêlé de jaune, de beige et de verdâtre, peut-être des Martiens maléfiques, ses patrons, lui en ont fait voir de toutes les couleurs : bleus à l’âme et ailleurs. Elle se sent un peu comme eux (le jaune), ils se sentent très au-dessus d’elle.
Traduisons son message planétaire :
"Les Verdâtres peuvent uniquement vivre sous terre, rampant comme des gnomes, puisqu’ils détestent la lumière. J’adore être cruelle avec les vieux hommes verdâtres, ça remplit mon portefeuille."
Les Blancs ? Elle n’en voit jamais dans son milieu de journalopes. Que lui ont-ils fait ?
Rien. Mais on ne peut en dire autant des verdâtres ! Elle crisse de rage, impossible de se venger.