Une éditrice/entrepreneuse qui aime s’asseoir sur le Code de l’Urbanisme, et celui du Patrimoine (et quels autres encore ?), mais qui, suffisamment argentée, fonde une école hors-contrat Education nationale à Arles (dirigée par un ex-Steiner mais sans la "philosophie" anthroposophique, ouf), vu le parcours compliqué de son fils.
Et, - rendons à César plutôt qu’à Grasset et BHL ... - une très bonne maison d’édition.
Devient un pin’s "Société civile" sur la jaquette du proconsul impérial Macron.
Pour tout vous dire, j’ai connu Actes Sud par hasard il y a 25 ans en découvrant Paul Auster (je lisais des romans ; et c’était très bon).
Pour conclure : les menaces de groupuscules sionistes comme les choix éditoriaux d’Actes Sud, également sionistes et propalestiniens (je vous laisse éplucher le catalogue) ne me la rendent pas plus sympathique, au regard des graves fautes apparemment commises, pour qui a été appelé à être ministre.
Le mérite principal de cet article est de montrer quel type bien particulier de molosses sont lâchés quand les oligarques jettent le kleenex-nyssen.
Je n’ai ceci dit aucun souci pour son avenir, ni la retraite de ministre à laquelle elle va pouvoir prétendre pour les quelques trimestres où elle a fait don de sa personne à la France.
Ça valait quand même le coup, non ?