J’ai découvert « Comme le temps passe » de Robert Brasillach sur France-Culture en juillet 1973 ! J’avais dix-neuf ans. Une voie féminine lisait « La nuit de Tolède ».
Ces pages sublimes intitulées La nuit de Tolède, les amours de Florence et René ont troublé l’adolescent que j’étais encore.
J’ai voyagé depuis. J’avais laissé beaucoup de mes livres dans une vieille maison à l’abandon. J’y suis retourné, il y a 11 ans.
Quel livre, ai-je ouvert et rapporté avec moi ?
Tout ce que n’avez jamais osé demander sur les auteurs dits « d’extrême-droite » , qu’on vous a dit regardez ailleurs, c’est par ici la sortie pour ne plus avoir de shoa qu’entre Anne Frank et Freud ! Ceux-ci vous les trouverez dans toutes les petites bibliothèques ou sur les présentoirs des hypermarchés.
Faites ce qu’on vous dit bêlement à l’école de la république , ne lisez pas ce qu’on lit, trop sulfureux !
Nous on s’instruit. L’Histoire, la vraie on la connaît. C’est pour ça qu’on traverse le Temps.
Vous on vous déconstruit. On vous façonne une Histoire pour les nuls afin que nous ne puissiez jamais retrouver une cohérence, un chemin de Vie.
Puis on vous détruit.
Pendant ce temps, la caravane passe, les Deschiens aboient ! Par ici la monnaie.
Est arrivé Soral pour Comprendre l’Empire de la médiocrité distillée, infusée dans le Peuple pour ne pas lui révéler sa KontreKulture celle de l’anti-république ...
Demain, nous entrerons dans les froides ténèbres.
Adieu, vive clarté de nos été trop courts ! ...
Baudelaire.