Chacun de nous peut constater,de façon évidente,qu’en matière de libération du pays du joug de l’oligarchie financière,et de ses tentacules mortelles,les faits sont clairs. Qui d’entre-nous ignore les ressorts de fonctionnement de la machine oligarchique et de ses désastreuses conséquences ? Ce qui reste au peuple,guidé par ses forces vives,à faire,c’est la lutte sur le terrain. La réthorique ne pourrait servir,au mieux, qu’à la marge. Et croire que cette rhétorique,ajoutée aux défoulements sur la toile du net,peuvent se substituer à la lutte libératrice des crocs de la bête sanguinaire,est une grave erreur qui est de nature à prolonger le temps de la torture de la nation. En effet,on ne peut plus se permettre de continuer à"expliquer"la nature de l’oligarchie,qui tire de derrière les rideaux les ficelles pour pousser les marionnettes à exécuter les crimes les plus effroyables contre les nations du monde entier,qui sont les sbires,sbires qui sans la moindre pudeur,et avec une insolence incroyable,"justifient" l’injustifiable,etc,etc,etc,...
Répétons le : ou on porte la lutte sur le terrain de l’action,ou on persiste à
bavarder pendant que la tumeur maligne ronge la substance de la patrie.
L’instinct de survie,ne nous laisse pas la moindre marge de manœuvre.
Cinq siècles avant Jésus Christ,Lao-Tseu disait :
Qui parle beaucoup est souvent réduit au silence.