La garantie du peuple (la démocratie) c’est la peur de l’enfer chez leurs élus.
Que nous élisions ou subissions un gouvernant n’a en soi que peu d’importance car , pour nous les gouvernés, notre sauvegarde n’est ni dans l’hérédité ni dans l’élection.
Ce n’est même pas que le riche ou le plus puissant daigne les années bissextiles poser un regard compatissant sur la misère de notre condition, ce que de toute façon, on ne lui demanderait même pas, la pauvreté étant suffisamment lourde à porter pour ne pas y ajouter l’humiliation de la mendicité.
Non, ce qui compte c’est que ceux qui nous gouvernent aient peur de l’enfer.
Il vaut mieux vivre sous le sceptre de Saint Louis sous son chêne que sous celui d’Adolf ou Joseph que nous aurions pourtant élus.
Car ce qui fit que Louis fut un saint et pour nous donc un protecteur, et au contraire Adolph et Joseph des montres, c’est la crainte Dieu.
Louis savait que s’il faisait le con, il devrait en rendre compte à Celui à Qui personne ne peut mentir et que le salaire de son injustice serait une punition éternelle.
Tandis que Adolph et Joseph, se prenant pour dieu, prenaient celui d’en Haut "pour un clochard itinérant vivant aux crochets de la société" (verbatilm dans le dictionnaire soviétique au nom de "jesus Christ", ce qui nous causa le nombre de vistimes innocentes que nous connaissons.
La condition de la démocratie ce n’est pas l’élection.
C’est le certificat de baptême.
Si nos candidats à l’élection peuvent en justifier, même novices, ils sont sans danger
Si au contraire, ils se revendiquent a christiques, surtout expérimentés, il ne faut surtout pas les élire, ni même participer à leurs simagrée d’élections