Il parait que le pouvoir est faible et à portée de main. Tiens donc.
Une grève générale aujourd’hui n’a sans doute pas grand-chose à voir avec une grève générale il y a un Siècle. Avec la faille entre les moyens du pouvoir actuel et le confort matériel, on peut (g)rêver.
Qui veut se sacrifier ? Personne.
Qui veut l’organiser ? Personne.
Les GJ ne vont nulle part pour le moment. Leur émancipation du Système est très éloignée de leurs préoccupations. C’est fini les revendications pour gratter quelques miettes du système capitaliste. Celui-ci est à nouveau en pleine mutation, et même contraction. Y’a trop de monde sur le navire, pas assez de bouées et il faut lâcher du lest.