L’oligarque Denis Olivennes n’a pas apprécié son portrait dans l’OJIM
28 mars 2019 10:31, par adolfo StaliniListe des avantages d’une immigration invasive et criminogène :
1) peser sur les salaires (c’était valable dans les années 60-70, maintenant, ça ne présente plus aucun intérêt en raison du chômage endémique).
2) Faire monter le racisme (ce qui permet de dévier la colère de la population contre des boucs émissaires).
3) Faire monter l’insécurité (ça rend la population hagarde et stressée et permet de fabriquer des mentalités de chiens battus).
4) L’afflux de population fait tourner le commerce et l’industrie.
5) La partie productive de la population (les gens qui se lèvent tôt) est amenée progressivement à travailler à mort pour conserver un niveau de vie décent car les taxes en tout genre pleuvent sur ces malheureux qui doivent nourrir des millions de parasites mal lunés.
6) L’organisation artificielle de la montée du racisme envers les populations extra-européennes est un excellent dérivatif aux haines ancestrales, ce qui permet de faciliter la construction d’une union européenne constituée à la base de peuples souvent ennemis depuis des siècles. Une haine chasse l’autre comme un clou chasse l’autre.
7) Enfin, en application de la théorie du sociologue serbe Andreï Simic, l’afflux d’une populace dangereuse et criminelle venue d’autres continents permet de compenser les effets pervers qu’amène avec lui le confort de la vie moderne : les populations européennes se sont dangereusement embourgeoisées, au point de verser dans des excès de débonnaireté qui les rendent extrêmement vulnérables. La présence d’effrayeurs publiques (les trop fameux bandits du désert et les sauvages cannibales venus d’Afrique tropicale) agit comme une espèce de vaccin contre la débonnaireté excessive en forçant le bourgeois européen à s’endurcir au contact de la violence crapuleuse, de l’insécurité quotidienne et d’une incivilité paroxystique.
On voit donc qu’à l’usage, l’immigration est un "merveilleux" outil permettant de gouverner commodément les peuples en les pressurant à mort sans que ceux-ci ne puissent ne serait-ce qu’imaginer pouvoir se révolter.