Je fais partie d’une génération qui a connu les "Casque d’Or", Spanghero, Paparemborde, Fouroux, Sella etc. C’était du beau rugby, du rugby panache qui a fait parfois plier les All Blacks.
Ce film reportage qui fleure bon les villages de France, avec son côté Don Camillo, ses histoires d’argent et ses petits pouvoirs aussi, est certe touchant avec certaines belles valeurs (et ses côtés moins jolis aussi) mais le passé appartient au passé.
Il s’agit d’aller de l’avant et d’ouvrir sur un autre paradigme. La solution n’est pas derrière nous. Ce sont aussi les vieilles mentalités fermées qui doivent apprendre à s’ouvrir.