La maladie de Kuru ou de Kreutzfeld-Jacob (tremblements, perte d’équilibre puis paralysie et mort) affectait majoritairement les femmes et les enfants papous de Nouvelle Guinée parce qu’ils avaient (les femmes et les enfants) comme coutume de consommer les morts de leur famille, pour des raisons alléguées religieuses, mais sans doute par besoin de protéines ou de luxe ; il paraît que c’est très bon à manger, très goûteux.
Cette coutume suivait celle des guerriers papous au temps de leur splendeur de consommer leur adversaire vaincu. Peut-être une dégénérescence culturelle.
La maladie de Kuru a disparu dans les années soixante chez ces Néo-Guinéens (Australie) grâce à la recherche scientifique et à la surveillance sanitaire et "coutumière" de ces tribus anthropophages (aux visages tristes et fermés, aujourd’hui plus joyeux), qui ne savaient pas pourquoi, dans chaque famille, on trouvait des malades du kuru. Raison principale : ignorance d’un tabou universel : tu ne mangeras pas ton semblable.
Angueula, quant à elle, a brisé un tabou universel : tu ne dirigeras pas, en te déguisant et pour te gaver toi et ta bande, un pays ou continent ou population d’on tu n’es pas ou tu n’es qu’à demi et que tu détestes, pour l’entraîner vers la destruction de tout ce qui le définit.
Elle a brisé un tabou, peut-être plusieurs, elle tremble. Bientôt la fin et le jugement dernier. Tremblez parjures !