Sans aller chercher aussi loin que l’avènement d’un féminisme exacerbé pour qualifier l’homme de quantité négligeable, il l’est - devenu - (pour le coup autant que la femme qui ferait bien - aussi - d’y prêter attention) depuis la maîtrise de substances qui permettent de ramener sa propre production d’énergie (physique) humaine, à peanuts.
Car l’homme n’avait de valeur que tant qu’il produisait (à lui seul) l’énergie nécessaire à faire avancer le smilblick. Des chevaux tout court à ceux vapeur jusqu’au nucléaire sans oublier le pétrole, ultime ressource transformable en énergie ayant eu raison des bras et des jambes de l’homme, ramenant sa puissance en kw/h à peu de chose.
D’ailleurs les guerres ne se font-elles pas pour l’idéologie simple de buter des gonzes, mais bien pour les ressources...
Certes, le féminisme n’arrange pas le bazar : mais, je me répète, les donzelles feraient bien de prêter cas qu’elles sont tout autant sur la « liste ».
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