J’aimais bien Lennon, les Beatles, etc., dans ma jeunesse. Dans cette période de révolte ultra-sentimentale, j’ai moi aussi gueulé contre toute forme d’autorité, j’ai moi aussi scandé "Ni Dieu ni maître" et autres fadaises d’ado défoncé...
Heureusement je suis sorti de cette bouillasse, j’ai découvert René Guénon (et Schuon, Evola, Coomaraswamy) et vu les vraies racines du monde moderne et de sa crise... A partir de là tout est devenu enfin clair, j’ai enfin pris conscience de la véritable manipulation...
Mais non, Lennon n’était un danger pour rien ni personne dans ce système, il n’a été efficace que pour enfoncer le clou pour le mondialisme, contre les religions (cf sa chanson "God is a concept"...). Son idéologie a porté ses fruits dans la société actuelle : effacement des genres, de la famille, de la virilité, de l’identité nationale. Quant aux "possessions", comme l’a dit un camarade plus haut, il pouvait chanter contre, mais il vivait largement pour elles...
"Ni Dieu ni maître" : la société d’aujourd’hui vit largement dans cette illusion, le peuple s’en targue en tout cas, s’affirmant athée et libre, oubliant qu’il est soumis à l’ordre, non pas de maîtres, ça serait leur faire trop d’honneur, mais d’un gang drôlement bien organisé...
Les vrais maîtres servent à nous guider.
Dieu sert à ce que nous soyons des hommes.
Sans Dieu ni maître, nous avons le monde d’aujourd’hui, et celui vers lequel on glisse, de moins en moins lentement, de plus en plus sûrement. On peut s’en féliciter. Ou pas