J’ai une suggestion à faire. Il faudrait punir sévèrement toute dénonciation d’agression sexuelle qui n’est pas logée aussi immédiatement que possible après les faits, en pratique dans les 15 jours. Voilà une "vieille" ménopausée de 50 ans qui vient raconter son "agression sexuelle", 31 ans après les faits.
Loin de moi l’idée de voler au secours de "Benchamoul", mais, je refuse l’appellation d’agression sexuelle, quand la "victime" n’a même pas eu à montrer ses attributs sexuels, et qu’il n’y a eu aucun contact avec eux.
Outre que les faits rapportés sont assez "softs", ils ne sont pas du tout prouvables. Ce qui est prouvable est le préjudice certain dû au simple fait de raconter l’histoire. Les actes périphériques commis peuvent l’avoir été à cause d’une attirance autre que sexuelle, en l’occurrence, la présence de la femme chez le riche monsieur a évidemment beaucoup à voir avec son attirance pour l’argent et l’ambition professionnelle.
A Dubaï, plusieurs jeunes écervelées se sont retrouvées en prison longue durée , dans des cas distincts, pour avoir été raconter à la police des faits "d’agression sexuelle", quelques heures après lesdits faits, et même avec relation sexuelle véritable, prétendument non-souhaitée.
Le fait que chaque fois l’agresseur avait l’âge et la nationalité de la victime, que tout s’était passé au cours de soirées où tout le monde était alcoolisé (alcool interdit en public, hors des hotels) et alors qu’il était évident avant-même l’ "agression" qu’elle avait une probabilité élevée, connue, et facilement évitable de se produire, tout ceci a joué en forte défaveur des "victimes", devant les juges.
Il existe encore des endroits du monde où un minimum de bon sens prévaut.