Cet accident de la nature, que l’on nous a imposé comme président, encense les causes de la décadence dont il fait l’énumération des manifestations. C’est une synthèse . . .
Il n’y a aucun lait à tirer d’un bovidé transgenre, et il n’y a aucun lait à tirer des forces qui l’ont propulsé à la tête de l’état.
Bras cassés ils sont, bras cassés ils resteront. Ces handicapés du bulbe méritent une place en institutions spécialisées.
L’OTAN ou pas, la défense européenne ou pas, ce ne seront pas les enjeux de demain.
Produire des canons et des bateaux de guerre, et placer des poitrines pour garder des gisements de matière première, tout le monde sait faire. Les enjeux seront nationaux, et strictement nationaux. Les autochtones d’Europe donneront la priorité et l’avantage aux nationalistes partout dans le monde, et saperont les institutions et les autorités auto-proclamées qui se sont imposées en Europe.
Le camp de Macron va retourner faire des pâtés triangulaires dans le sable. Et pi c’est tout. Fallait pas nous coloniser. Fallait pas pourrir notre nation par l’immigration. Vous avez déjà dépassé votre apogée. Voici venu le temps de la chute . . . Accrochez vos ceintures.
Vindicatifs jusqu’au bout des ongles, et dotés de mémoires d’éléphants les Gaulois . . . mais pas réfractaires, bien au contraire.
C’est Macron le réfractaire, il refuse le changement. Il refuse d’admettre la réalité : il est le fruit de la colonisation de nos terres et du viol de notre nation en tant qu’esprit collectif ; c’est un colonisateur en sursis.