Tout cela ressemble à une petite guerre entre Hollywood et le cinéma français. Tout ce qui est français, pour le yankee "profond" du marécage doit être abattu. Ce fut difficile, tant le peuple français est ingénieux (il contourne l’arbre de Mao mis en travers de la route), et toujours prêt à bosser, mais en se fatiguant le moins possible. L’astuce peut souvent remédier au muscle et au billet.
On arrive cependant à détruire un art en brisant les têtes, en abêtissant progressivement la descendance, en remplaçant les vraies élites par des pions malfaisants et prétentieux.
Le cinéma dit français a donc fini par atteindre (souvent) les objectifs hollywoodiens, et le made in LA reste l’empocheur de shekels, imposant ses comédiens et ses producteurs sur le marché. À ceci s’ajoute le récent trumpisme, qui contrôle un certain féminisme, pour combattre ses dévoiements : par exemple, la prostituée quinquagénaire qui attaque son client pour viol d’innocente, grosso modo ; et avec force mimiques épouvantées. Trump a une dent contre ces dames-là et surtout leurs mentors, qui l’ont obligé à se justifier, ce qui est toujours assez ridicule. Il protègera donc à l’occasion la féministe qui les attaque à son tour. C’est la force des féministes françaises : elles peuvent toujours aller chercher le boss à LA, si elles sont encore fraîches.