Le coronavirus semble frapper démesurément les Noirs aux États-Unis
9 avril 2020 01:01, par anonyme
Une hypothèse (peut-être idiote mais peut-être pas) : les différences anatomiques du nez entre africains et européens (pour faire simple) est largement due au climat. Des narines étroites permettent de réchauffer et d’humidifier l’air avant qu’il n’accède aux poumons. Des narines larges permettent une oxygénation plus rapide (l’air n’ayant nul besoin de se réchauffer pour accéder aux poumons dans les pays d’origine). L’inconvénient des narines larges dans le cas d’une infection pulmonaire virale qui se diffuse dans l’air, c’est que les gouttelettes virales en suspension dans l’air accèdent direct aux profondeurs des poumons. Une adaptation locale, comme celle de la vitamine D et de particularités génomiques héritées du Néandertal qui favorisent le système immunitaire dans les régions froides de l’hémisphères nord. En dehors des problèmes sociétaux, ce sont peut-être aussi des questions de différences physiques héritées qui peuvent influer de manière non négligeable. Les blancs sont plus "adaptés" aux conditions des pays froids, les noirs plus "adaptés" aux conditions des pays chauds. C’est une évidence mais que l’on oublie.