Il est dans ma famille au sens le plus élargi, quantité de médecins, civils ou militaires étoilés jusqu’à l’académie, de pharmaciens et autres chirurgiens ou praticiens, comme il en est dans le cercle amical : une bonne dizaine dans chaque groupe et presque autant d’infirmières et de personnel médical, jusqu’à la secrétaire. Vilain petit canard épistémologiste amateur de la bande, s’il est besoin, le mot d’ordre est qu’ils aillent tous se faire enculer, si et seulement si, il franchissent deux frontières au-delà du simple conseil :
- le premier est que leur consultation n’a justement qu’une valeur consultative,
- le second est que leur ordonnance est, pour une fois, si je le veux.
En règle général, cela ne se passe pas trop mal, ce qui crée même une émulation : de quoi faire avancer le Schmilblick : en tous les cas, celui de la réflexion.
Cela vaut donc pour les « étrangers » aux cercles.
Il en est de même pour le respect de la charte du patient hospitalisé où, cette fois-ci, le soutien corporatiste permet de corriger ce qui pourrait partir en vrille dans certains établissements. PArce que si le personnel médical gueule par les temps qui courent et à juste titre, cette fois, parfois, cela déconne un peu...
En revanche nous savons que les bras de fer avec l’ARS sont compliqués avant que de dénouer des situations complexes voire d’interdits...
Néanmoins, il est vrai que la discussion qui tourne autour des vaccins est un débat soutenu, permanent.
Par ailleurs, Bill Gates n’étant ni médecin, ni chercheur, ni praticien au pied du caducée et sous serment, qu’il aille se faire endoffer, lui et son opinion, pour le coup.
J’en suis à mépriser mes éditeurs de logiciels utiles à mon activité, à ne tourner que sous Windows. Sinon, ce serait vite vu : comme sur d’autres bécanes : hop, Linux !
Samèrelipopette !