Un beau jeune homme intelligent. Il y a de l’espoir.
Les gauchistes nous offrent dans leurs manifs le spectacle désolant de collégiens de banlieue fortement immigrée, où se mêlent dans les classes les enfants d’employés, les uns en pavillon, les autres en cités.
Règne dans les classes un chahut perpétuel. Depuis sa tendre enfance le jeune résident en France (national ou non) baigne dans cette ambiance, s’habitue à éructer, à la loi du plus gueulard, au rire stupide et perçant, à l’impossibilité d’apprendre, de réfléchir, de se concentrer, au sombre ennui permanent, tente d’échapper au harcèlement moral ou physique par le conformisme le plus idiot.
Puis, une fois grand, il reproduit cette soumission au boulot, et se défoule avec ses amis reliés par fils, absolument indispensables à sa survie psychologique.
Ce monde est normal pour lui ; il n’en a jamais connu d’autre. Les manifs lui permettent de hurler en chœur une sorte de cri primal de nourrisson jamais vraiement sorti des limbes.
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