Ce qui se passe dans les "grandes villes américaines", vous avez trois mouvements :
les loopers, en général des noirs américains qui ont vandalisé au début de BLM les magasins et enseignes, petits ou grands, sur LA, NYC, au Texas, là où il y a des noirs pauvres dans des villes très riches ou très pauvres Phily, Baltimore ou DC. Parfois cela dérape, des coups de feu, des embardées, des morts ...
les protesters, les blancs pro-sanders qui ont direct embrayé sur le mouvement BLM. C’est le très gros des manifestants, bonne condition sociale et bonne conscience.
les antifas : le plus surprenant. Ils sont les plus efficaces dans des régions ou il y a très peu de noirs (Seattle - WA, Portland - OR, Austin -TX). Ce sont des blancs américains dégénérés à bon niveau social ou culturel, gangrénés au White Privilege de Robin DiAngelo ou à la théorie du genre de Judith Butler. Là il y a de la casse mentale. Les mots d’ordre sont sorosiens, mais ils ne sont pas bêtes et leurs rangs grossissent au fil du temps.
Les trois sont utilisés par les grands réseaux NYT, WSJ, WP, CNBC, MSNBC, CNN pour faire de l’anti-trump de base en plus de sa gestion du Covid. Les démocrates sont vraiment des s***pards.
Etonnament Detroit et Chicago sont restés relativement calmes avec une très forte majorité noire mais avec une structure économique forte.
Les évangélistes noirs se sont un peu manifestés en all lives matter, mais ont eu peu d’écho médiatique.
Chad Wolf, placé à la tête par Trump au Department of Homeland Security (forces fédérales intérieures), est assez nul, ayant peur d’un dérapage. Le FBI ne bouge pas du tout et aucune enquête sur des activistes interstates, alors qu’à Portland-OR on retrouve des agités du Wisconsin, du Colorado, de l’Etat de Washington ...