Psychopathes, machiavéliques - mais c’est leur faire trop d’honneur - narcissiques... pervers, pour couronner le tout : voilà le portrait de ceux qui imposent le masque, c’est à dire de ceux qui se croient des droits sur le corps des autres.
Notons que l’étude ciblant les refuzniks remarque qu’ils vivent moins longtemps que les tyraniks. Ces derniers en effet atteignent des longévités remarquables, déplorables éventuellement.
Les refuzniks sont donc vraisemblablement plus souvent âgés, ou malades ou pauvres (beaucoup de jeunes) et instruits. Toutes populations que le bâillon torture et dont la vie est abrégée. Le vieillard a déjà le souffle faible et court. Le malade a davantage besoin d’oxygène, le pauvre n’a que son nez, son corps et ses mouvements à lui. Pas touche !
Hier la boulangère m’a souri en s’excusant : je ne verrais pas son sourire. Pour elle, a-t-elle dit en confiance, ce masque est politique.
Ce que l’étude propagandaire appelle bizarrement "machiavélisme" chez les pauvres sondés, c’est la faculté exaspérante de démystifier les mensonges les plus élaborés, financés, répétitifs de la triade noire : OMS, ONU, UE. Ces sigles recouvrant des personnes, actionnaires, politiciens et groupes d’influence bien réels.
Pour être "machiavélique" il faut avoir un quelconque pouvoir. Les sondeurs n’ont pas lu Machiavel, n’ont pas lu grand chose en général Les sondés, qu’ils l’aient lu ou pas, en connaissent les grandes lignes, jusque dans leur souffle vital.