La peine de mort à sens unique : 2 migrants poignardent un jeune homme
21 septembre 2020 12:28, par Road runner
Petite fiction peut-être pas si loin que ça :
J’habite dans un village de 75 habitants d’après le recensement. Nous sommes plutôt une quarantaine en vrai. Il suffirait qu’une centaine de ces migrants décident de venir de ce Paris infernal nous rendre visite avec des machettes pour nous zigouiller, prendre nos maisons et les squatter. Ils seraient indéboulonnables. Un chèque tous les mois à la campagne et glander : quel paradis bien mérité, après tout cet esclavage...
Leur organisation ayant été faite grâce à leurs téléphones gratuits, plus beaux que les nôtres et payés par nous-même, ainsi que leurs billets SNCF d’ailleurs.
Dans mon village, même les chasseurs du coin n’auraient aucune chance de s’en tirer : la loi veut que les armes soient tenues dans des armoires fermées à clé.
Si ça continue, Il va y avoir une autre loi qui nous obligera à demander gentiment à l’agresseur si on peut ouvrir l’armoire et qu’elle arme il préfère pour le flinger.