On peut être un homme de culture comme mitterrand d’ailleurs aimait à se présenter et être le fossoyeur de la France. Pour l’homme de culture, il suffit de le comparer (attachez-vous car la descente est fulgurante...) à sarkosi, puis hollande et pour l’apothéose micron.
Pour la fonction de fossoyeur, nous pourrions reprendre la même comparaison que les biens nommés ci-dessus mais cette fois de manière positive.
mitterand justement a une responsabilité prédominante dans le déclin de la France (en connaissance de cause ? c’est aussi cela un homme de culture : il sait ce qu’il fait). D’abord et avant tout en ayant mis sur les rails avec helmut kohl l’aliénation de la France avec la mise en place de du projet européen ...et de l’ecu (l’ancêtre de l’euro).
Voici ce que disait le 9 avril 1987 françois mitterand :
"L’Europe aura un jour une monnaie commune, j’en suis convaincu. C’est parce que je crois profondément à la nécessité d’une réalité monétaire européenne que j’ai dit à Londres, récemment "ou bien le SME réussira et l’Europe se fera, ou bien il échouera et l’Europe ne se fera pas"
Être un homme de culture ne signifie pas être un homme de bien. Il semble avoir édifié ces monuments dans Paris à sa gloire afin d’être juger par l’Histoire comme l’égal de Napoléon. Il faut se rappeler à ce sujet son voyage en Egypte à la veille de sa mort et toute la mise en scène autour de celle-ci.
Pour ma part, je m’inscris dans la tradition hélléno-chrétienne (...et pas franc-maçonne :) le bien est recherché pour lui-même, il est bien en soi.
Transcendance, courage et rigueur.