Dictature féministo-raciste : Delphine Ernotte veut une télé sans hommes ni Blancs
21 novembre 2020 10:57, par julot
Toute la supercherie réside précisément dans le principe même de la représentation, qu’elle soit télévisuel ou politique.
Couplé avec un encadrement strict de la liberté d’expression, autorisant, déformant, inversant le sens même des mots, termes, expressions du langage, les questions de représentation à la télévision de la diversité ne repose que sur des illusions perceptives créés justement par celle-ci.
Ce moyen médiatique ou plutôt de propagande altère précisément la conscience et notre jugement par les mécanismes cérébraux essentiellement émotionnelles activés par cet objet. Les rapports sociaux de plus en plus inexistants dans la réalité, se construisent désormais via une interface, tel un miroir déformant de nos perceptions émotionnelles les plus aliénantes.
La transformation des schèmes audiovisuels privilégiant le divertissement, les principes de storytelling des Real TV, des chaines d’infos composante de la société du spectacle, définit par Guy Debord, s’est substitué à notre perception du réel qui ne peut s’affiner que par l’expérience même de notre existence.
La politique moderne fonctionne d’ailleurs sur ces éléments fictionnels construient et mis en scène par les commentateurs, les présentateurs à grands renforts de phrases chocs, des slogans, de polémiques toutes plus stériles les unes que les autres.