Si on veut faire chier dans leur froc aux Castex, Darmanin, Véran, et autres apprentis dictateurs, il faut une capacité d’organisation puissante et rapide comme l’éclair.
Que nous, qui n’aurons pas le passeport vaccin, nous puissions nous organiser et faire société entre nous.
Que notre exclusion de la vie économique nous pousse, et nous permette, de parvenir à l’autonomie alimentaire et à de petites économies locales, à l’image du village d’antan.
Que notre interdiction de restaurant nous pousse, et nous permette, de nous retrouver en grandes tablées, les uns chez les autres.
Etc.
Bien-sûr, cela n’est possible que dans les campagnes. Mais les villes sont foutues de toute façon ...
Pour les problèmes d’infiltration par les RG, on apprendra avec le temps à s’en immuniser.
Cette dictature doit être considérée comme une opportunité de construire de la vraie société, de la vraie humanité, et de la vraie culture.
Car la liberté telle qu’elle est aujourd’hui n’a rien produit ni d’humain, ni de beau, ni de solide et durable. La liberté dans ce monde moderne n’est synonyme que d’aliénation, de laideur, d’inhumanité, et de servitude : ce n’est qu’une liberté vaine et contre-humaine.
La dictature annule cette liberté vaine et contre-humaine : elle doit donc être vue comme une opportunité, un coup de pied au cul pour construire du Bien, du Beau, et du Vrai.