Bardeche, agrégé en 1932, 3 ans après Saint Sartre et Sainte de Beauvoir, n’a pas eu la même postérité que les deux grands résistants pré-cites.
Les implacables et définitives lois de Nuremberg qu’il a decrites et analysées quasiment quand elles s’ecrivaient, l’excluaient de ce monde d’ordre et de tradition qui devait être définitivement exclu ; car tout ordre, mène à la Shoah. Au bout il y a l’apologie de l’avortement au nom de la liberté de la femme.
Il a donc vécu son chemin de croix heureusement, définitivement traumatisé par l’exécution de l’autre génie du camp du mal, son beau-frere Robert Brasillach, le 6 Février 1945 ; parfaitement décrit dans Suzanne et le taudis. Sa condition de "collaborateur " l’obligeant un temps à vivre avec sa femme Suzanne et ses 5 enfants, dans des conditions, spartiates.
Sparte et les sudistes présente une vision dialectique de l’histoire, bien présentée par Frank Pengam. Le gauchisme est donc une version dégradée et orienté par la pub et certaines personnes, du sudisme.
Dans un monde organique, Sartre et de Beauvoir ne seraient plus étudiés, ni leur tombes visitées. On étudierait Brasillach et Bardeche, les perdants magnifiques, temporaires du moins.
Au sacrifice spartiate de Brasillach correspond le travail sudiste de Bardeche, bataillant encore dans les années 1980 avec le jeune BHL, armé de la mémoire de Brasillach.
Et rejoignant Brasillach définitivement en 1994 au cimetière de Charonne.