Alain Soral, entretien d’avril/mai
17 mai 2011 07:56, par Beetlejuice
Bonjour. Je conseille aux nouveaux arrivants (sur cet article comme sur E&R) de prendre le temps de lire tout le fil des réactions. Merci aux personnes qui débattent d’économie et livrent d’excellents liens pour aller plus loin. Tout aussi intéressants les témoignages des jeunes désemparés par leurs congénères. A ceux-là j’ai envie de dire, tenez bon, balancez deux ou trois phrases déstabilisantes qui pourront les amener à réfléchir, aujourd’hui ou dans 10 ans ! Et sachez que vous pouvez utiliser FB pour leur retourner le cerveau. C’est à dire un mettre au coeur d’un outil aliénant les graines pour s’en libérer. Certains le font déjà. Et vieillir vous permettra de sélectionner vos relations et accointances idéologiques. Bref, concernant Soral, je ne partage pas du tout l’enthousiasme de bcp sur sa sortie au début. J’ai beau détester ce connard de Guillon je ne vois pas l’intérêt. Par contre je trouve absolument salvateur le pointage de "l’écrivain blessé" et de "l’érudit hautain" empêtré dans ses concepts. CQFD. Je crois bien que l’armée de poseurs qu’on a en France renforce les mécanismes de domination en semant une confusion généralisée et en excitant les réseaux d’influence. L’homme commun se sent exclu de fait et le jeu continue indéfiniment. Du moins il perdure. Car aujourd’hui les masques tombent et le courage politique devient payant. La parole se déshabille. Le système se délite et la pensée reconstructrice se fait de plus en plus limpide. Et après la parole vient l’action. Si les temps prochains nous montrent des torrents d’immondices ils permettront aussi un renouveau qui étonnera beaucoup de gens. Vive E&R, vive la France.