L’histoire de Philippe le Bel est intimement liée à celle des templiers. La version officielle veut qu’il ait agi par appât du gain.
La vérité est que le trésor des templiers ne fut jamais capturé, pas plus que les 260 vaisseaux templiers qui purent quitter à temps le port de La Rochelle.
Ce qui pût être capturé fût légué à l’ordre monastique des chevaliers de Malte une fois déduits les coûts des procédures juridiques.
Les vaisseaux et templiers qui s’echapèrent formèrent la piraterie telle que nous la connaissons, arborant le symbole templier du crâne humain et des os croisés (utilisé par la suite par Skull & Bones de Harvard).
Sa forme légale intégra la franc maçonnerie qui en deviendra la continuation principale. Tout comme chez le templiers, la majorité des maçons resteront ignorants du véritable caractère de leur organisation.
Ceci fût corroboré par de nombreuses révélations de templiers au Pape, confirmant les interrogatoires plus musclés ordonnés par le Roi.
Banque internationale armée et façade de l’élite usurière satanique de son époque, l’ordre pratiquait la débauche, l’homosexualité et l’alcoolisme en toute hypocrisie et la renonciation au Christ en crachant sur le crucifix.
Le procès verbal des entretiens de templiers avec le Pape existent et confirment ceci, bien que curieusement ils n’aient jamais été traduits du latin.
Je vous invîte à visiter le monument grotesque dédié aux templiers sur l’île de la cité (Vert Galant), autrefois appelée l’île aux Juifs (qui arbore aussi le quai des orfèvres), sous la protection de la statue d’Henri IV, roi adulé par l’histoire au contraîre de Philippe le Bel, bien que protestant, faux converti au Catholicisme, appelé aussi le Vert Galant (vieux dégueulasse) et marié à la finance des Medicis.