Prince Andrew, inquiété dans l’affaire Epstein : son accusatrice a déposé plainte à New York
10 août 2021 14:00, par PMJLL
Evidemment, 20 ans après les faits, et alors que le charme et la beauté s’enfuient, elle fait mine de se réveiller, après avoir été spontanément contactée par des avocats lui ayant expliqué le "plan" habituel.
Elle n’aura rien à rembourser de tout ce qu’elle a reçu à l’époque. Elle a aussi instruction stricte (sous peine de pénalités financières envers les avocats faisant tout le boulot) de ne jamais décrire précisément les sévices subis, de peur de perdre toute chance de succès dans la poursuite, en plus de perdre la face, soit parce que les sévices furent minimaux, ou inexistants, soit parce qu’elle ne pourrait pas expliquer qu’ils ne peuvent avoir été faits sans son consentement, soit les deux.
A 14 ans, on a l’âge légal du consentement en Allemagne, en Autriche, en Pologne, en Italie.
Elle avait un minimum de 16 ans au début des faits.
Les jeunes d’aujourd’hui appellent ça une gold-digger. YouTube est plein de vidéos mettant en évidence les manoeuvres de gold-digging.
Encore un bon coup des avocats américains surreprésentés dans la communauté organisée et toujours outrageusement intéressés au résultat des cas traités grâce à des closes léonines soigneusement huilées (aucun paiement d’avance du client mais 50% des compensations arrachées aux futures victimes exclusivement choisies pour leurs poches présumées profondes).
Epstein n’était certes pas un enfant de coeur mais ses relations ont droit à la présomption d’innocence.