On en fait du tapage avec cet énième WoW (World of Warcraft).
Ça finira comme la maison mère Blizzard de ce dernier : la thune rentrant tellement et de manière automatique qu’ils en oublient de bosser un petit peu, quid de ce qui à fait leur succès, ensuite viendront les patchs à la chaine et comme les dealers de drogue, ils finissent par avoir leur quota d’accoutumés (un peu comme les jeux où il faut payer pour gagner ou les "Pay to Win" qui font fureur en ce moment). La maison a finalement été rachetée par plus avide qu’elle et elles ont entamé ensemble une descente aux enfers qui continue encore.

Enfin leurs abonnés finiront ruinés ou simplement par se lasser et découvrir - un peu tard - qu’ils ont claqué plus de la moitié de leur argent (même si techniquement il faut bosser dans la vie réelle pour avoir de l’argent à dépenser dans la vie virtuelle, ou alors parasiter) et la partie la plus précieuse de leur vie dans de la merde dont ils ne conserveront aucune trace palpable une fois leur abonnement résilié pour faute de payement ou non connexion dans les 24 heures. Ils finiront en contre exemple a ne surtout pas suivre. Ce truc est un poison à destination des plus jeunes oisifs qui sont rapidement accros. Bref, un énième couteau planté dans le corps de l’occident mourant. « lapresse.ca » vend de la merde à des merdeux assez cons pour en acheter.

A décharge de JP Morgan qui font partie du sérieux du problème, le phénomène de claquer de l’argent sur des trucs virtuels prend des proportions telles qu’ils commencent à s’y intéresser, ce qui n’augure rien de bon. Je pense que c’est une bulle qui a pris son essor durant le confinement et dont l’éclatement entrainera de sérieuses conséquences.